C'est en février 2024, lors de la saison 8, que les Elah ont rejoint l'aventure Familles nombreuses : la vie en XXL, le docu-réalité de TF1. Depuis, la tribu donne régulièrement de ses nouvelles sur les réseaux sociaux. Hanaa, la mère de ce clan très apprécié par les téléspectateurs, poste très souvent sur Instagram où elle est suivie par 175 000 abonnés. Le 5 octobre dernier, elle annonçait avoir donné naissance à son cinquième enfant, Safyr, alors qu'elle souffre du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). "Après des années d’attente, de doutes, de silence, et d’espoir, tu as choisi de briller parmi nous. Chaque battement de ton cœur est une victoire, chaque regard un éclat d’amour. Tu es la preuve que l’espoir ne s’éteint jamais, même quand le chemin est long. Après la tempête, la plus belle des lumières", écrivait-elle.
Cet adorable petit garçon rejoint ainsi Aylan (né le 13 janvier 2017), Keyden (né le 22 avril 2018), et les jumeaux Emyr et Etna (nés le 12 août 2021). Deux mois après ce "miracle", celle qui est mariée depuis onze ans à Irshad, agent aéroportuaire de nuit, s'est exprimée face caméra dans une story publiée ce jeudi 4 décembre. Alors qu'elle allait chercher ses enfants à l'école, la créatrice de contenus s'est confiée sur la raison pour laquelle Emyr et Etna ne mangeaient pas à la cantine. Si sa fille ne veut pas y aller, ce n'est pas le cas de son frère qui a manifesté son désir de rester le midi avec ses grands frères. Mais l'ancienne coiffeuse préfère qu'il reste chez elle pour un motif spécifique.
"Emir, il a un trouble de l’oralité vraiment très très très prononcé, a-t-elle dévoilé. Il souffre d'une difficulté à s'alimenter, diagnostiquée par des professionnels de santé. Et Hanaa d'expliquer : "C'est hard de ouf comment il se nourrit depuis tout petit. Ce qui a fait que j’ai réussi à le garder en forme, ça a été vraiment l’allaitement."
Un état qui n'est pas compatible avec son inscription au restaurant scolaire. "Personne ne va l’assister. Il prend trois plombes à manger. Il faut le divertir, il y a tout un process que je fais pour qu’il se nourrisse, s'est-elle justifiée. C’est trop tôt !" Puis de conclure, soulagée de ne pas avoir à se séparer de lui : "Très contente qu’il n'y aille pas encore, qu’il y ait encore l’année prochaine et puis on verra en primaire." Affaire à suivre.